
Les enquêteurs de La Haye ont interrogé plusieurs officiers croates soupçonnés d’avoir commis des crimes dans le cadre de l’opération „Éclair“, mais aucune accusation n’a été déposée contre eux.
Devant les tribunaux de Croatie, de Serbie et de Bosnie-Herzégovine, plusieurs procédures pénales ont été engagées contre des membres des forces croates pour crimes commis dans le cadre de cette action, mais elles n’ont pas dépassé la phase pré-pénale.
Le lendemain du début de l’opération „Éclair“, le président de l’époque de la RSK, Milan Martic, a ordonné la fusillade de Zagreb, qui a duré deux jours, pour laquelle il a ensuite été condamné à 35 ans de prison devant le tribunal de La Haye. Les forces de l’ex-RSK ont tiré 23 projectiles sur Zagreb à ce moment-là, dont six personnes ont été tuées et 176 ont été blessées, rapporte Beta.
source: politika.rs