En ce jour, en 1992, suite au meurtre de l’un des invités de mariage serbe Nikola Gardović à Sarajevo, par un criminel sous la protection du parti SDA (Alija Izetbegović), la guerre en Bosnie et Herzégovine a commencé. C’était dimanche et ce jour là, dans la ville de Sarajevo, la plus grande ville serbe après Belgrade, où vivaient en 1992. près de 200 000 Serbes, tout semblait normal.
L’un des Serbes bien connu et respecté de Sarajevo, Nikola Gardović, a fêter le mariage de son fils et a emmené les invités de mariage à l’église des Saints Archanges Michel et Gabriel (ou la „vieille église“, comme l’appellent les anciens habitants de Sarajevo) qui est située en plein centre de la ville, sur Baščaršija. L’église des Saints Archanges Michel et Gabriel est l’une des plus anciennes églises de l’Église orthodoxe serbe de cette région, plus ancienne que la ville de Sarajevo elle-même.
Ce magnifique temple, perle de l’architecture médiévale serbe, est la preuve irréfutable de l’existence séculaire des Serbes orthodoxes dans cette région. Le temple existe sous sa forme actuelle depuis le 14ème siècle, mais il a été construit sur les fondations d’une ancienne basilique romaine du 6ème siècle.
De tout cela, il s’ensuit que la vieille église de Baščaršija est essentiellement plus ancienne non seulement que la ville de Sarajevo (fondue au 10ème siècle), mais a été construite avant même la naissance du prophète islamique Mohammed et avant même qu’il y ait un mot sur l’islam, sur la foi musulmane et sur le catholicisme romain, et encore moins sur certains non-Serbes qui sont censés, sois didant, être originaires de Bosnie et Herzégovine.
Il n’y a pas d’informations historiques pertinentes sur le fondateur du temple et les constructeurs, mais nous savons que selon la tradition, le fondateur était Andrijaš Mrnjavčević (frère du plus grand héros serbe du „Prilep ville blanche“ Kraljević Marko).
Le crime de Baščaršija s’est produit lors de l’arrivée du cortège de mariage serbe dans la zone devant la vieille église de Baščaršija. Le criminel local bien connu Ramiz Delalić, surnommé „Ćelo“ (originaire de Priboj, Serbie), qui a réagi sous l’accord et l’ordre du parti politique islamique SDA, s’est rebellé que, selon l’ancienne coutume serbe, la fête de mariage porte le drapeau national serbe et a tiré sur le père du marié avec un pistolet, Nikola Gardović et a blessé le prêtre de l’Église orthodoxe serbe, Radenko Mirović.
Tout ce que Nikola Gardović a dit au meurtrier Delalić lorsque Delalić a protesté contre le port du drapeau était: „Pourquoi me gâchez-vous la fête?“
Cet événement a été le principal déclencheur du déclenchement de la guerre sur le territoire de la Bosnie et Herzégovine. A partir de ce jour, rien à Sarajevo ne sera plus comme avant.
Les autorités musulmanes de Bosnie et Herzégovine, dirigées par le SDA, n’ont pas autorisé l’arrestation et la poursuite du meurtrier et de leur membre éminent Ramiz Delalić et de ses complices, c’est pourquoi la police de Sarajevo s’est rapidement partagée selon des lignes nationales.
Nikola Gardović a été tué uniquement parce qu’il est serbe et uniquement parce qu’il portait le tricolore national serbe selon les coutumes. Il n’a jamais blessé ni menacé personne. Sa seule erreur était qu’il était un Serbe qui est allé à l’église pour épouser son fils.
A partir de ce jour, la vie des Serbes de Sarajevo ne sera plus jamais la même.
Dans tous les médias occidentaux, cet événement a été truqué, c’est-à-dire présenté comme si des Serbes tiraient sur des invités de mariage musulmans. Cette fausse information a immédiatement fait le tour du monde.
source: Историја Срба