« Ce micro-État est une porte d’entrée non contrôlée vers la France. Une fois qu’un individu a acheté son passeport, qu’on le laisse entrer dans l’espace Schengen, tout peut arriver ! » s’inquiète une source à la police aux frontières basée à Roissy-Charles-de-Gaulle, la plateforme aéroportuaire qui compte le plus d’agents du renseignement, tous services confondus.
La France refuse l’entrée sur son territoire
De fait, une note du groupe d’analyse et de suivi des affaires d’immigration (Gasai) de la PAF, datée du 3 mars, oblige les fonctionnaires aux frontières à refuser l’entrée en France aux « ressortissants » du Liberland. Il considère les documents administratifs en leur possession comme « fantaisistes et par définition non reconnus par la France ».
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